Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Ce blog, créé en octobre 2006, a pour mission de partager nos passions en musique,  cinéma, bouquins et plein d'autres choses encore.

De Nantes à Brest, puisque ce sont les villes qui bornent notre éloignement géographique, nous utilisons le blog comme canal de nos coups de coeur !

Ce site est bien sûr ouvert à la famille, aux amis et à tous ceux qui passent pas là. N'hésitez pas à réagir aux articles en y mettant vos propres commentaires.

Pour suivre l'actualité du site, vous pouvez aussi vous inscrire à la "newsletter".

Bonne visite !

dossier Beatles

 

 

Recherche

Articles RÉCents

25 mars 2007 7 25 /03 /mars /2007 18:57
Scénario : Nataël Dessin : Beja
Editions Casterman – 1995
Réédition en 2000 (illustration)
 
Résumé du site Casterman : Nous sommes à Ciudad, la ville dont la devise est Normalité Légalité Réalité. Une cité coupée en deux mondes étanches : dans la ville haute vivent les privilégiés, tandis que la ville basse, quartier de ruines et de misère, est le théâtre de sanglants affrontements ethniques. Parce que Ciudad est menacée par la surpopulation, le ministère de la Réalité libère sous condition Voroldine, un ex-terroriste condamné à perpétuité : redoutable dialecticien et brillantissime intellectuel, Voroldine a mis au point une pilule destinée à juguler les pulsions violentes. Avec pour effets secondaires de supprimer les émotions, donc la sexualité. Et voilà réglé le problème de la surpopulation. Mais Nolimé Tangéré, celle qu’on ne touche jamais, va mettre le feu au cœur du froid Voroldine... au risque de se brûler les ailes. Mais qui est Nolimé ? Une déesse intouchable, la beauté désincarnée, ou tout simplement la créature d’un romancier, fille d’hallucinations alcoolisées, et qui finira par échapper à son créateur ?
 
C’est évidemment le somptueux dessin de Beja (que je découvre ici) qui m’a tout de suite séduit. Un trait élégant, un univers étrange, des cadrages inventifs, voici une BD très ambitieuse. Hélas je n’ai pas trouvé le scénario vraiment palpitant, tout juste intéressant, sans plus. Mais heureusement les héroïnes de papier sont vraiment très réussies et dignes des stars de l’âge d’or d’Hollywood. Du coup, on se passionne moins pour l’histoire que pour suivre les personnages féminins, très sensuels et l’on pourrait soupçonner le scénariste de n’avoir eu d’autre ambition que de tourner son histoire autour de situations érotiques car c’est clairement ce qui convainc le mieux dans cette BD. Ce n’est pas moi qui m’en plaindrais.
 

Les deux auteurs collaborent régulièrement ensemble et ont publié Les griffes du Hasard (3 albums chez Casterman)  Les Compagnons du rêve (2 tomes chez Emanuel Proust) et Fantic (dernière production en date). 

Partager cet article
Repost0
23 mars 2007 5 23 /03 /mars /2007 18:14

Film américain de Marc Lawrence
avec Hugh grant, Drew Barrymore
sorti 14 mars 2007

Un nouveau Hugh Grant ! Voilà maintenant un moment que je n'étais pas allée le voir au cinéma. Les habitués du blog se douteront que ce n'est pas avec Benoît que j'ai fait mes retrouvailles avec l'acteur mais avec quelques amies de Saint Brieuc : le public idéal.


Pour ce film, Hugh Grant incarne un chanteur qui a connu son heure de gloire dans les années 80 et qui aujourd'hui enchaîne les galas devant une poignée de nanas hystériques. Jusqu'au jour où on lui propose de composer une chanson pour une Britney Spears qui devrait lui permettre de faire son Come Back.


Une bonne comédie qui permet de passer une soirée détente en mettant le cerveau en mode pause. A noter tout de même un Hugh Grant exceptionnel dans son rôle de chanteur 80's. Un clip et un déhanché à mourir de rire. Sinon, au niveau du scénario bah.... vous connaissez l'histoire hein? Il rencontre une fille, ils n'ont rien en commun, etc etc... Le petit bémol c'est la voix française de Drew Barrymore. Mais bon, on est souvent déçu par les doublures, c'est pas nouveau.

Partager cet article
Repost0
21 mars 2007 3 21 /03 /mars /2007 14:13
Film français de Laurent Tirard
avec Romain Duris, Fabrice Luchini, Laura Morante, Edouard Baer et Ludivine Sagnier
Sorti le 31 janvier 2007
 
Voilà un film qui n’a pas eu très bonne presse, mais encouragé par des avis positifs d’amis, j’ai tout de même pris le risque d’aller le voir.
 
Et je n’ai pas été déçu, bien au contraire. Généralement peu enclin aux films d’époque, souvent englués dans des dialogues châtiés et peu convaincants, j’ai trouvé dans le « Molière » de Laurent Tirard une comédie toute simple mais pétillante, légère et savoureuse. Et… drôle, ce qui n’est pas plus mal pour une comédie ! Emportés par un rythme sans faille, les acteurs jouent avec panache sans en faire de trop non plus et sont tous aussi délectables : Romain Duris en Molière, Fabrice Luchini en M. Jourdain et Edouard Baer dans le rôle du mondain cupide. Le casting féminin n’est pas en reste et même si Ludivine Sagnier n’est pas spécialement remarquable (quel dommage !), Laura Morante, possède le charme – irrésistible – et l’audace qui transcende son rôle clé (Mme Jourdain).
 
On a reproché au réalisateur une trop grande liberté avec l’histoire, mais qu’importe. Ce film nous offre d’abord un beau moment de cinéma et accessoirement l’envie de redécouvrir l’œuvre de Molière. Pour moi, c’est déjà pas mal !
 
A noter que TF1 diffusait le 20 mars le précédent film de Laurent Tirard avec Edouard Baer "Mensonges et Trahisons et plus si affinités.." Très drôle et très réussi également.
 
Partager cet article
Repost0
15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 19:47

Mademoiselle K - Ca me vexe (EMI - 2006)

Découverte en rentrant du boulot en écoutant radio Nova, j’avais immédiatement accroché au style de cette mystérieuse Mademoiselle K. Le temps passant, j’oublie son existence quand – de passage à la FNAC de Nantes – je tombe nez à nez sur son album ; 9€90, ça ne vaut pas la peine d’hésiter : emballé, c’est pesé !

Premier bilan après une semaine d’écoute : Positif. Mademoiselle K sonne définitivement rock, du brut, avec futal en cuir, coupe à la garçonne, vieille Fender saturée : nul doute, ça sent la sueur, tranchant évidemment avec les productions féminines actuelles (je ne citerai personne). Du bon vieux riff rock, parfois relevé par la section rythmique qui donne un groove funky appréciable (cf. le titre « Ca me vexe »).

Les thèmes abordés dans les chansons ne surprennent pas forcément par leur originalité, cependant ils sont toujours traités de façon originale : évoquer une rupture ? Ok, mais pas question de pleurnichages pour midinettes, ça s’appelle « Crève », et ce titre évoque assez bien l’ambiance de la chanson. J’aime bien aussi le texte de « Ca sent l’été » dans lequel Miss K. cherche entre autre un moyen de se venger du jury qui lui a fait foirer son capès…

 

 

Mais au fur et à mesure des écoutes, on comprend vite que sous le cuir se cache une sensibilité à fleur de peau, ce qui donne aux chansons une dimension bien à elles que les amateurs de rock à six cordes ne doivent pas tarder à découvrir.

Partager cet article
Repost0
14 mars 2007 3 14 /03 /mars /2007 19:23

POLNAREFF à BERCY
 13 mars 2007

A l'instar du Nickel, le concert d'hier soir fut à tout point de vue extrêmement brillant.
Déjà dans les allées de Bercy le ton était donné, les "ultras" arboraient des perruques blondes et des lunettes noires à montures blanches... Et tout le monde se rendait au concert le sourire aux lèvres et le coeur léger. Tout cela tenait un peu à la fois de la réunion de famille, du séminaire, ou encore de l'intervention du grand gourou de la secte.
Comme toujours le remplissage de l'arène de Bercy se déroule sans anicroche, les 17 000 spectateurs sont là rassemblés. Depuis la fosse où nous étions, nous  pouvions apercevoir la tribune VIP, comme d'habitude la dernière à se remplir, très certainement histoire de se faire remarquer un peu plus, pour mieux se plaindre ensuite dans les journaux à sensations. Pour l'anecdote, j'ai ainsi pu voir de très loin Jean-Paul Belmondo.

Le public est très varié : les fans de la première heure sont là, la soixantaine bien tapée, mais aussi les "quadras" et de très nombreux "jeunes" dans la vingtaine et la trentaine.

La scène est surmontée d'une énorme paire de lunettes lumineuse dont les verres sont des écrans géants. Riche idée !
En arrière, un rideau blanc est tendu en travers de la totalité de la scène, ne laissant rien entrevoir.

La pression monte, il est environ 21h15 quand la lumière s'éteint et que le rideau tombe. La scène apparait en même temps que Michel Polnareff. Pas de surprise : longs cheveux blonds ondulés, lunettes noires à montures blanches, tenue un brin excentrique, un brin mégalo. Mais qui l'aurait reconnu sinon ? Il apparait tel que tous l'attendaient. Accueil triomphal !
Voilà une belle entrée en matière. A part quelques kilos supplémentaires (mais bon, ce n'est pas Richard Anthony non plus...),  le personnage semble avoir étonnamment résisté au temps, même démarche, mêmes mimiques, même gestuelle. C'en est bluffant. En termes d'image et d'impact le pari est donc gagné, et haut la main !

Mais le ramage vaut-il le plumage me direz-vous? Et je répondrais simplement : non.
Le ramage est bien supérieur, il est même intact. La voix est exactement la même, parfaitement posée, d'une amplitude certaine, d'une précision diabolique dans les aigus, et sans jamais forcer. Il est déconcertant de facilité. Je me suis surpris plusieurs fois à fermer les yeux et visualiser le Polnareff de la fin des années 60. Impossible de faire la différence. Idem pour ce qui est de la dextérité au piano.

Des musiciens exceptionnels ! J'ai particulièrement apprécié le guitariste et le batteur, mais le percussionniste, le second guitariste, le bassiste, les deux claviers, les cinq choristes (dont quatre beautés à tomber, le cinquième étant un homme je n'ai pas d'avis) ont tous proposé une prestation d'un excellent niveau, et parfaitement en harmonie avec l'univers du maestro.

Des lumières divines ! L'aspect visuel était soigné dans les moindres détails, s'adaptant à l'ambiance des chansons à l'aide des technologies les plus modernes. Ni trop ni trop peu. Le juste équilibre pour accompagner l'essentiel, à savoir la musique, sans s'approprier le premier rôle. Une belle réussite là aussi.

Premier titre de la soirée "Je suis un homme" et les chansons s'enchaînent sans temps mort. Malgré la profusion, cela ressemble fort à un best of géant. Un peu comme s'il n'avait écrit que des tubes. Là aussi, c'est bluffant ! Il alterne savamment chansons avec tous les musiciens et seul au piano. Le public est sous le charme et n'a de cesse de jouer la chorale.

Les deux bonnes heures de spectacle défilent à une vitesse ahurissante et se terminent par un "Goodbye Marylou" sublime ponctué d'un déluge de "lunettes-confettis" que tous tentent de saisir au vol ou s'empressent de ramasser, tels des trophées, dans une ambiance d'un autre monde.


Bien évidemment quelques rappels suivront, puis d'autres encore, manifestement non prévus, seul au piano cette fois... "Bon, à ce stade du spectacle, je ne sais pas ce que je vais faire" nous lance-t-il ! Il reprend "Les larmes de verre" dans une version plus intimiste et touchante qu'avec tous les musiciens, puis conclut par "Ame câline" avant de s'éclipser en remerciant et saluant son public à plusieurs reprises.

Chapeau bas Amiral !

http://www.polnaweb.com

Partager cet article
Repost0
14 mars 2007 3 14 /03 /mars /2007 13:31
No Orchilds for Miss Blandish - 1938
James Hadley Chase (1906-1985)
Traduit de l’anglais par Marcel Duhamel
Série Noire – Gallimard (1949)
 
La jeune et (très) jolie fille du milliardaire Blandish est enlevée. La rançon est versée mais la fille n’est pas restituée. Car, pour son malheur, Slim Grissom a dévolu sur elle son amour malsain.  
 
C’est avec délectation que je me suis plongé dans cette toute première œuvre de l’un des maîtres du polar (dans l'édition originale ci-contre. Oui, la jaquette a un peu souffert). Ecrite en 1938 mais publiée en France 11 ans plus tard. On notera que c’est le directeur de la collection Série Noire qui s’est lui même chargé de la traduction. C’est cette version que j’ai lue et non celle revue et actualisée par l’auteur en 1961 et traduite par Noël Chassériau.
 
Pas d’Orchidées par miss Blandish est un roman particulièrement noir, d’une violence rare et d’un sadisme vraiment surprenant pour l’époque. Je n’ai vu aucune des deux adaptations cinématographique du roman (en 1948 et 1971) mais il est fort probable que la censure les aient édulcorés.
 
Une fois encore Chase met en scène des truands, des détectives et de jolies femmes. Ces dernières ont vraiment la vie dure dans ce roman particulièrement Miss Blandish qui subit tous les outrages.
 
Autres polars de J-H Chase sur ce Blog
-         Pas de vie sans fric
-         Chantons en chœur !
 
Allez, petits veinards, c'est pas une couverture mais bien 3 couvertures anglaises que je vous propose ! C'est pas beautiful, ça !
 
Partager cet article
Repost0
12 mars 2007 1 12 /03 /mars /2007 00:06
 

Film américain de Clint Eastwood
avec Ken Watanabe, Kazunari Ninomiya
21 Février 2007

Lettres d'Iwo Jima est le second volet du diptyque de Clint Eastwood sur la bataille d'Iwo Jima. Après Mémoires de nos pères qui relatait la bataille du point de vue américain, ce film nous livre le point de vue Japonais.

Je dois avouer que lorsque que je suis entrée dans la salle, je n'avais aucune idée de tout ça. Et n'ayant pas vu Mémoires de nos pères, ce n'est qu'en rentrant chez moi que j'ai découvert tout cela.

Ce film m'a aussi permis de découvrir un des cinémas du centre de Nantes : le Katorza. Au moment d'entrer dans la salle, Benoît, qui me devance un peu, m'arrête et me dit : « Tu te souviens du Studio à Brest? ». Petite salle, petit écran : je me sens chez moi !

Et le film dans tout ça? Et bien le bilan est mitigé. D'un côté le point de vue japonais, certaines scènes très fortes et très bien réussies. L'inégalité du combat, la détermination des japonais sont rendus avec force. Mais d'un autre côté, je n'ai pas l'impression d'avoir vu un chef-d'oeuvre. Peut-être quelques longueurs.

Fin mai, Mémoires de nos pères sort en Dvd, je pense que je me laisserai tenter par le premier volet de cette série.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2007 6 10 /03 /mars /2007 13:29

 Anges et Démons

Dan Brown

2007

Après le célèbre Da Vinci Code, Dan Brown nous entraîne dans une nouvelle enquète dans le monde catholique.

L'histoire est assez simple : une vieille secte composée de scientifiques et qualifiée de sataniste par l'église refait surface au XXI ème siècle. Son projet semble simple : détruire le vatican avec un nouveau type de bombe ultra puissante et encore secrète. Seulement c'était sans compter sur la perspicacité de Robert Langdon, professeur d'histoire de l'art.


Je dois l'avouer : j'aime les histoires de complots, de confréries anciennes, de secrets religieux et je pensais trouver dans ce roman de quoi me satisfaire.

Le début de l'oeuvre est très convaincant, les indices s'accumulent, on ne sait plus qui est coupable, qui est innoncent. Mais l'auteur, ne s'arrete pas à temps dans cette manie des retournements de situations, il faut qu'il en rajoute jusqu'au grotesque. Je ne vous raconte pas la fin de l'histoire mais je suis passée d'une lecture palpitante à un récit caricatural. Oui ! Franchement, la fin de ce livre m'a d'abord fait rire, puis elle m'a exaspérée. Dommage, c'était bien parti pour me procurer un agréable moment de détente.

Partager cet article
Repost0
8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 20:38

Par Matthias Debureaux
Editions Cavatines - 2005

"Chiant qui comme Ulysse a fait un beau voyage" Ainsi démarre ce petit pamphlet (43 pages) ou l'auteur s'amuse à recencer les milles moyens d'emboliser conversations et soirées autour de son dernier voyage.

Il s'adresse aux visiteurs (car aujourd'hui on ne découvre plus mais on va constater sur place ce que l'on a lu dans les guides) de retour de vacances et qui vont bassiner leur entourage avec des soirées photos bien plus pénibles que les diapos d'antan puisqu'avec le numérique, n'est ce pas, ce n'est plus 4 fois 36 poses que l'on ramène mais un bon millier de photo, au bas mot.

Un livre indispensable, a acheter en même temps que le guide de voyage et à lire impérativement le soir même de son retour.

PS : A quand "De l'art d'ennuyer avec son blog !" ?

Partager cet article
Repost0
5 mars 2007 1 05 /03 /mars /2007 20:28

Film français de Régis Wargnier
Avec José Garcia, Lucas Belvaux, Marie Gillain
Sorti le 24 janvier 2007

Sur les portes des appartements parisiens fleurissent des « 4 » à l’envers. D’étranges et menaçants messages sont clamés à la criée de Jos Le Guen, au cœur de la ville. Un premier mort, au corps noirci, sème la panique : la peste serait de retour…
 
J’étais assez motivé pour aller voir « Pars vite et reviens tard » même si on pouvait lire et entendre ici et là des critiques mitigées sur le film. Je crois bien que c’est la première adaptation d’un roman de Fred Vargas, ce qui en soit était déjà une première et solide motivation. Chaque polar de cet auteur est en effet un pur moment de plaisir. José Garcia incarne l’atypique commissaire Adamsberg. Et ça colle assez bien avec l’idée que l’on s’en faisait. Pour le reste, il faut savoir prendre son parti, et on ne le dira jamais assez : non, il est définitivement impossible de retrouver dans un film la richesse d’un roman. Brian de Palma avait réussi à évoquer génialement l’ambiance du Dahlia Noir même s’il en avait fait un film aussi peu déchiffrable qu’un David Lynch (et du coup assez fidèle au livre !).
 
Si j’ai plutôt apprécié la première partie du film, la deuxième moitié m’a moyennement convaincu. L’intrigue se précipite et toute l’ambiance mystérieuse qui imprégnait le film se dissipe trop vite. Le casting est fameux, de José Garcia à Michel Serrault mais aussi l’excellent Olivier Gourmet, Lucas Belvaux, Marie Gillain.
 
Régis Wargnier est un cinéaste assez rare (qui a vu son Man to Man sorti en 2005 ?), il signe ici un film risqué, peut être pas totalement réussi (peu s’en faut pourtant) mais aussi attachant, qu’un personnage de Fred Vargas.
Partager cet article
Repost0