
Ce blog, créé en octobre 2006, a pour mission de partager nos passions en musique, cinéma, bouquins et plein d'autres choses encore.
De Nantes à Brest, puisque ce sont les villes qui bornent notre éloignement géographique, nous utilisons le blog comme canal de nos coups de coeur !
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Bonne visite !
C'est bien Deep Purple in rock la réponse exacte de notre 3ème jeu du vinyle.
Notre gagnant cette semaine est bien Jean-François qui a battu tous ses adversaires au chrono. Bravo !!! Son commentaire désobligeant sur "les gros graisseux" lui vaut tout de même un amical carton jaune.
Deep Purple In Rock est considéré comme l'un des tous premiers disques de rock. Pour un petit rappel de la bio de Deep Purple, cliquer ici
Sinon, j'accède volontiers à la requête de Damien : oui, j'ai encore de quoi faire un "jeu du vinyle" supplémentaire. Je le met donc en ligne dès samedi matin !
Bonne semaine à tous !
Le hasard fait parfois bien les choses tout de même ! Il y a quelques semaines de cela, en zappant sur la radio dans ma voiture, je tombe sur les dernières secondes d'un sketch d'un "nouveau comique". Le présentateur donne son nom, mais absorbé à autre chose, j'oublie... Le sketch en question parlait, non sans talent, des séminaires professionnels. C'est quelque chose de familier pour moi et je me suis dit que ce gars avait dû vivre la même chose, tant ça sonnait vrai ! Et justement, comme tous les ans en Janvier, nous avons notre réunion vente de début d'année. En général, nous l'agrémentons d'une petite soirée sur Paris. Et là, je me dis qu'il faut absolument que je remette la main sur le nom de ce gars entendu à la radio. J'en parle à une collègue qui, avec la brève descrition que j'en fais, me sors immédiatement "Demaison, le gars s'appelle Demaison". Bingo ! Je me précipite alors sur internet et je confirme, c'est bien ce gars là que j'ai entendu à la radio ! Malheureusement, il ne se produit pas sur scène à la date de notre réunion vente, et nous irons vous une pièce de théâtre bien moyenne, mais ceci est une autre histoire. Tant pis, j'irai quand même le voir à titre personnel. Fin de la digression.
François Xavier Demaison est sorti de Science Po., il a entamé une brillante carrière dans la finance internationale à New-York. Tout s'effondre le 11 novembre 2001 et il décide se consacrer à sa vraie passion depuis toujours réprimée : le théâtre.
Il nous présente ici un spectacle très largement auto-biographique, depuis le départ du monde professionnel jusqu'à la scène. Son one-man-show est d'une qualité et d'une richesse d'écriture rare. Mais en plus de cela, le ramage est à la hauteur du plumage. Il habite littéralement ses personnages et possède un vrai talent pour passer de l'un à l'autre. A ce titre, il m'a fait penser à Alex Métayer, que j'ai eu le bonheur de voir sur scène il y a quelques années. A cela vient s'ajouter une vraie aisance pour l'imitation "oui, c'est bien moi, Fantomas, hahahahaha".... Mais je ne dévoilerai pas tout !!!
Les tableaux du spectacle s'enchaînent le plus logiquement du monde, sans temps mort, avec beaucoup de générosité, d'enthousiasme et de gourmandise. Dans ces conditions, la mayonnaise ne peut que prendre et le public parisien, parfois guindé, suit ! L'ambiance est excellente dans l'intimité de la toute petite salle du théâtre de la Gaîté Montparnasse. Après une petite heure et demi, le spectacle s'achève déjà sous une pluie d'applaudissements. Une vraie découverte à recommander chaudement.
Les impatients peuvent aller voir sur son site internet. Le petit extrait vidéo, s'il est très reprsentatif, ne rend toutefois pas l'atmosphère de la salle de spectacle.
http://www.demaison.net/
Jean-François
3ème et dernière semaine !
Allez on remet le couvert ! Cette fois je vous donne direct des indices efficaces.
INDICE SUR LE DISQUE :
INDICE SUR LE GROUPE :
Il fut l'un des quatres guitaristes de ce groupe et décéda d'une overdole en 1976.
Allez, c'est à vous !
réponse au jeu du vinyle - 2
J'admets que cette fois c'était moins évident... La couleur rose était un indice, mais finalement plutôt maigre.
La révélation de l'année n'a rien fait avancer mais l'allusion à la lune s'est avérée source d'inspiration.
C'est donc Animals qu'il fallait découvrir ! Cet album qui suit Wish You Where Here n'a pas connu un succès exceptionnel (je veux dire à l'échelle Pink Floyd, tout de même !). A sa sortie une version rose (un peu plus chère) était proposée. Votre serviteur, qui ne travaillait pas encore à l'époque, cassa sa tirelire car Pink Floyd il était méga fan. Tee shirt, posters des artistes si cools, jeu de lumière à deux balles dans la chambre pour écouter ce fantastique quatuor. Bref, c'était pas rien Pink Floyd à cette époque ! Ce disque est tout de même excellent, très élaboré musicalement, Animals annonce la dureté de The Wall, qui verra le jour deux ans plus tard, et des titres comme Sheep notamment avec son intro au piano Fender Rhodes ou encore Dogs avec le solo de guitare de David Gilmour sont des pièces majeures de l'oeuvre du Pink Floyd. Un album a redécouvrir !
Donc notre gagnant de cette semaine est Damien !!! Bravo à lui.
A vendredi pour un troisième et dernier jeu (faut pas abuser). Je vous promets un faisceau d'indices plus exploitables !
LE JEU DU VINYLE - 2ème semaine !!!
Devant le succès incroyable de notre nouveau jeu (au moins 3 participations et la réponse trouvée en 2 secondes), je vous propose de renouveler l'exploit en priant mes partenaires du Canal de laisser une petite chance à nos invités ;-)
Ce week-end donc, voyons la vie en rose :
A vous de jouer !
OLIVIA RUIZ
La Femme Chocolat (Polydor / Universal - 2005)
Voilà déjà quelques semaines que je reporte la chronique de cet album. D'abord parce qu'il me semblait difficile d'aller critiquer un cadeau d'anniversaire et puis, je ne savais pas trop par quel bout le prendre ce disque.
Consciencieusement donc, je me suis attelé à plusieurs écoutes. Ce qui frappe d'abord, c'est la voix ! une voix acidulée qui caresse ou irite, c'est selon.
Un coup d'oeil sur les notes de pochette nous indique que certains musiciens ne sont pas inconnus pour les familiers de Bénabar, comme le guitariste Bertrand Belin ou le pianiste Olivier Daviaud. Les arrangements font souvent preuve d'une grande subtilité.
Quelques chansons sont signées de la chanteuse, Pour d'autres elle s'est entourée de compositeurs/trices comme Mathias Malzieu (son compagnon, il paraît), Juliette, Mali du groupe Tryo ou Christian Olivier des Têtes Raides. On peut entendre deux chansons en espagnol et une autre en anglais, mais ça ne sont pas mes préférées.
Alors, aujourd'hui encore, je ne sais pas trop que penser de ce disque. J'ai vaguement l'impression d'être un peu à côté. Une chose est sûre, la chanson que je n'aime vraiment pas, c'est "Non-dits" le duo avec Christian Olivier. Depuis que Sophie m'a dit "on dirait Serge Lama" je ne sais pas pourquoi, ça passe pas.
C'est clairement dans les chansons les plus sensuelles que la voix d'Olivia se place le mieux. "La Femme Chocolat" est à ce titre, une réussite. J'aime aussi beaucoup "La petite valse de Narbonne Plage" et "Cabaret Blanc" (et ses superbes cordes).Enfin, une mention particulière pour l'excellente chanson de Juliette "La Petite voleuse" (franchement une chanson comme ça, on se la garde pour son propre album) qui est servie par une orchestration remarquable.
La femme chocolat, deuxième album d'Olivia Ruiz, a le mérite d'être à la fois un succès public (5ème meilleure vente de l'année 2006 en France) et critique (notamment "Choc" du Monde de la Musique).
THEATRE
Samedi 27 janvier 2007 - Lesneven (29)
L’OMAC de Lesneven accueillait un spectacle de théâtre samedi dernier : Amour à Mère de la compagnie « A Petit Pas ».
C’est l’hommage d’une fille à sa mère décédée. Un hommage tendre, humoristique et sacarstique. Nous rions de bon cœur, avec aussi des moments plus intimes et quelques part nous nous sentons proches de cette histoire de relation entre une mère et sa fille.
Pendant la pièce nous pouvons découvrir un enchaînement de scènes de leur vie commune. La comédienne, Léonor Canales, joue les deux rôles passant de l’un à l’autre sans que le spectateur ne soit perdu dans l’histoire.
Pendant tout le spectacle, elle est accompagnée par de belles marionnettes. Nous la voyons se transformer continuellement avec des jeux masqués. Nous sommes dans l’illusion, le théâtre de marionnettes, la comédie chantée.
On ne s’ennuie pas une seconde : L’actrice a une énergie étonnante, danse, chante et déclame son histoire sans heurt.
Comme vous pouvez le lire, j’ai été emballée. Je vous conseille d’aller voir cette pièce si elle passe près de chez vous.
Sophie
Nouveau : Hervé Quéré nous confie ces quelques clichés du spectacle lesnevien :